L’ivrEscQ : Le bonheur parfait ? Kamel. A. Bouayed : Etre rassasié émotionnellement et intellectuellement et, rendre chaque jour les gens autour de moi un peu plus heureux.
L’espace que vous aimez le plus ? Mon bureau ou le delta de l’Okavango.
Le dernier éclat de rire ? Durant les retrouvailles avec mes trois frères, début septembre, je n’ai pas arrêté de rire, et j’étais heureux.
La dernière fois que vous avez ravalé vos larmes ? Lorsque mon petit frère s’est marié. Je me suis rendu compte que le bébé que j’avais jadis chéri était devenu un homme.
Que détestez-vous le plus chez l’autre ? La vanité.
La faute que vous pardonnez le plus avec indulgence ? L’excès d’amour.
Le talent que vous auriez aimé avoir ? Navigateur.
Votre principal trait de caractère ? Cette insoutenable avidité d’apprendre chaque jour.
L’écriture est un exutoire pour vous ?Non, au contraire, c’est le climax de ma pensée et de mon imagination, je suis son cours toutes les nuits, en fait je me laisse aller dans cet océan sans rivages.
Votre livre de chevet ? Cent ans de solitude, de Gabriel Garcia Marquez.
Pour vous la mer ? Immensité, inspiration, quiétude, mythologie, Moby Dick, Sindbad, Odyssée, Barberousse et bien sûr, le vieil homme et la mer.
Que représente la femme pour vous ? La perfection dans la création.
L’année qui vous a marqué ? 1991. Mon départ d’Algérie a été boosté par ma soif d’apprendre et de découvrir. Cette année fut aussi un tournant dans l’Histoire de l’Algérie contemporaine.
Le verbe que vous aimez par-dessus tout ? Oser.
Si vous aurez la chance de rencontrer dieu, qu’aimeriez-vous lui dire ? Pourquoi tant de chaos dans le cosmos ?
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