Lee Child, dans un entretien accordé à la presse étrangère, vient de livrer quelques-unes de ses ficelles d’écrivain. Pour transformer son écriture, qu’il qualifiait de rasoir, l’homme s’est mis au tétrahydrocannabinol, ou THC, la molécule active que l’on trouve dans l’herbe… «J’ai fumé de l’herbe durant 44 ans, cinq soirs par semaine. Je suis l’exemple typique qui démontre que cela ne peut pas vous faire beaucoup de mal», avoue-t-il. Né à Birmingham, avant d’émigrer en Amérique en 1999, après la publication de son premier roman, écoulé à 70 millions d’exemplaires, Child sort cette fin du mois d’août son nouveau roman, Never Go Back, le 18ème. Un livre qui parle de vengeance, le fil directeur d’une œuvre, à l’origine de son immense succès. À l’âge de 58 ans, l’homme vit de manière plutôt dépouillée, et dans son appartement de Manhattan, on trouve surtout du café… et de la marijuana. «Je suis assez indifférent à la nourriture. (…)
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