en novembre 2015, l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm à Paris a décidé de rendre hommage à celle qui fut élève de ce prestigieux établissement, pour peu de temps il est vrai mais ce fut son choix personnel que d’en partir, pour des raisons politiques qui ne peuvent que l’honorer. L’hommage a pris plusieurs aspects. Dune part, l’une des salles de ce lieu qui voit passer nombre d’élites intellectuelles portera désormais le nom d’Assia Djebar. D’autre part, pendant deux jours on a pu voir ou revoir les deux films d’Assia Djebar, La Nouba des femmes du Mont Chenoua (1978) et La Zerda ou les chants de l’oubli (1982) et ce fut l’occasion d’un colloque ou plutôt d’une rencontre consacrée à AssiaDjebar cinéaste, en présence du spécialiste de la question, et plus généralement de tout ce qui concerne l’audiovisuel en Algérie, Ahmed Bedjaoui. Enfin, il fut décidé de publier une notice nécrologique de quelque importance pour célébrer sa mémoire dans le bulletin des anciens élèves de l’Ecole Normale supérieure. Ayant écrit cette notice, j’en choisi un court passage pour les lecteurs et lectrices de L’ivrEscQ, compte tenu du fait qu’en dépit de son élection à l’Académie Française, les lecteurs français de cette notice sont moins bien renseignés que les algériens sur cette académicienne atypique!
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