
La littérature émerge grâce aux prix littéraires lui permettant plus de visibilité et accessibilité. La huitième édition du Prix Mohammed Dib a sélectionnée des noms des auteurs (2021-2022) pour le meilleur roman et le meilleur recueil de nouvelles dans les trois langues pratiquées arabe, amazighe et française apprend-t-on des organisateurs.
Les deux noms retenus par le jury en langue arabe sont : « Au commencement était le verbe » de Amel Bouchereb, « Apprends-moi comment pardonner » d’Amina Yagoub et « La mort du capitaine » de Hamid Abdelkader ».
En langue française trois œuvres ont été retenues : « La ville aux yeux d’or » de Keltoum Staali, « Prodigieuse fortune » de Corinne Chevallier et « L’agonisant » de Hedia Bensalhi.
En enfin, la langue Tamazight qui commence à se frayer un chemin depuis peu, les œuvres retenues sont : « Tiziri » d’Aoudia Zohra, « Tawes Ibeledeiden » de Fadila Oulebsir et « Tareeggagt » de Walid Salhi.
La liste finale des lauréats, dans les trois langues, sera annoncée le 22 octobre à Tlemcen.
Ont été primés lors de la précédente édition les auteurs Abdelmounaïm Bensayeh (Arabe), Mourad Zimu (Tamazight) et Mustapha Benfodil (Français).
(Source APS)
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