Le poéte Li Po, il y a treize siècles…
De son enfance et de son adolescence au village «Lotus bleu», Li Po dit : «Ma maison est au pied du mont des Nuages pourpres, l’atmosphère taôiste y est particulièrement vivace». Une région montagneuse de cascades, de forêts de pins, de biches, de singes (ou gibbons dont les taôistes croient qu’ils peuvent vivre mille ans…) et de pandas… Commerçant, son père est en contact avec des communautés qui par «la route de la soie» (ou remontant le grand fleuve à partir du port de Canton où se trouve une des plus vieilles mosquées du monde) venaient de tous les horizons d’alors: Zoroastriens de Perse et Indous bouddhistes ; Juifs, Chrétiens et Musulmans de l’Empire des Omeyyades ayant pour capitale Damas et dont l’empire s’étale sur trois continents des Pyrénées jusqu’à l’Indus… (…)
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