Jessica Chekroun : Vit et travaille à Paris. «Je viens de Nice, c’est pour cette raison qu’au lieu de prononcer rose, il m’arrive de prononcer «rauze». Mis à part cette incompétence langagière, très peu de signes laissent transparaître ma provenance.»
Meryam Djeghri : Vit et étudie à Alger. Étudiante en journalisme et écrivaine amateur, Meryam est passionnée de littérature, de bande dessinée et de cinéma. Elle aborde plusieurs thèmes dans ses écrits : la folie, la peur, la haine, mais aussi l’amour, l’admiration et l’espoir. Elle reste influencée par plusieurs auteurs fantastiques comme Edgar Allan Poe, Oscar Wild, Robert Louis Stevenson, et d’autres plus réalistes comme Guy de Maupassant, Jack London ou Dostoïevski.
Sofiane Djebbar : Vit à Mascara. Il participe à la vie associative au sein de l’association culturelle Emir
Abdelkader et co-anime un ciné-club hebdomadaire. Il aime lire et écrire dans des registres différents (BD, fantastique, polar, histoire… etc.). Il a un penchant pour Voltaire et la littérature de science-fiction. Il travaille actuellement sur une BD fantastique.
Jean-Yves Hamon : Vit et travaille à Barcelone. «Je me suis construit en parlant et en écrivant deux langues, le français et l’espagnol. En grandissant je suis devenu réalisateur et scénariste. J’ai continué à jouer avec différents langages. À chaque étape d’un film ou d’un scénario, je collabore avec des artistes n’ayant pas les mêmes codes que moi pour ouvrir de nouveaux horizons. Je me frotte régulièrement à des langages ou des codes qui ne sont pas ou plus les miens en réalisant par exemple un clip de rap avec des jeunes. Ces jeunes qui ont une culture artistique innée, et qui n’aiment pas qu’on leur rappelle ce qu’ils savent déjà. J’ai toujours voulu travailler, composer, jouer avec eux à réinventer une nouvelle grammaire technique et un nouveau vocabulaire visuel. En lisant le projet de LEQALD je me suis dit qu’il réunissait toutes les facettes de mon métier, en un seul et même projet. Je n’ai pas pu résister à l’envie de participer, une fois de plus, aux nouveaux codes et langages.»
Anis Saidoune : Vit et étudie à Alger. Étudiant en pharmacie, journaliste-reporter, et musicien de rock old school, il est passionné de la littérature. Écrivain en herbe, plutôt en ronce qu’en herbe, il préfère les ronces à l’errance, car sans sa plume, il s’égare dans les dédales d’un monde qu’il ne comprend pas.
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