Après l’immense succès de Tom Wolfe, un des plus importants romanciers américains contemporains, l’auteur ressort avec son dernier roman Back to Blood avec une écriture ultra-réaliste. Son premier roman, Le Bûcher des vanités (The Bonfire of the Vanities ), ( en italien : Falò delle vanità ), best-seller mondial, qui a été transposé au cinéma en 1990 par le réalisateur Brian De Palma. Il relate l’époque de Reggan avec cette Amérique assoiffée de pouvoir et d’argent. Un Homme, un vrai ( A Man in full ), est son deuxième roman engagé qui décrit les tensions raciales existantes dans le sud des États-Unis, à Atlanta. Moi, Charlotte Simmons ( I Am Charlotte Simmons ) et d’autres essais ornent le panel de ses œuvres. Tom Wolfe, qui est en tête d’affiche aux côtés de Jeffrey
Eugenides, Don DeLillo, Paul Auster, John Irving et Richard Ford, est influencé par de grands noms de la littérature tels que Dickens, Steinbeck, Honoré de Balzac, Émile Zola et tant d’autres. Le NEWYORKER reporte sur cet octogénaire : « Wolfe has argued that modern American fiction has fallen into sterility and irrelevance because novelists aren’t looking at the world ». Wolfe dit que les romanciers américains sont dans la stérilité parce qu’ils ne regardent pas à travers le monde. Rolling Stones, magazine américain bimensuel juge que trop de détails et trop de dialogues chez Wolfe alourdissent son récit.
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