Abderrahmane Khelifa, Auteur de « Alger, histoire et patrimoine »
« C’est à l’école que l’on s’imprègne de la notion de patrimoine. Comment peut-on enseigner l’histoire sans aller de temps en temps sur le terrain qui recèle les vestiges de la matière étudiée »

L’ivrEscQ : Pourquoi ce besoin d’écrire l’histoire ?
A. K. : Quand on fait des études d’histoire, il arrive un moment où il y a accumulation de connaissances que l’on veut faire partager. J’ai eu aussi la chance d’être archéologue et donc de faire un métier passionnant qui m’a permis de voir et de suivre les traces matérielles de cette histoire. Une histoire qui prenait forme dans les différents monuments que je voyais ou que je découvrais au fil de mon parcours. Le besoin d’écrire s’est fait sentir car il faut laisser des traces pour les générations futures.
Aussi, au cours de conférences que je donnais, on me demandait de mettre par écrit et à la disposition du public ce que je disais dans des cercles plus ou moins restreints.
Suite de l’entretien dans la version papier
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Une Réponse pour cet article
c’est incroyable de trouver le meme nom et prenom
ravis de vous connaitre
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