Dans ce numéro de L’ivrEscQ qui paraît avec beaucoup de retard -Ce dont nous nous excusons humblement auprès de vous tous- présente une diversité de rubriques habituelles. Ce magazine de promotion livresque porte la voix de la littérature algérienne d’abord et étrangère, mondiale, mais surtout l’amour de découvrir la préciosité du livre. Le livre et son impact en Algérie, dans le monde.
Le but du dossier « Brassage Culturel » est de faire découvrir aux lecteurs plusieurs lucarnes de la culture mondiale, allant des révélations non dites encore aux Français et aux Algériens par Maurice Mauviel, à Ismaïl Balic pour sa conception de la religion musulmane, plus d’autres personnalités culturelles d’ici et d’ailleurs.
Dans la rubrique «Entretien de L’ivrEscQ» Leila Aslaoui donne le ton. Cette icône de force, de puissance de la femme algérienne brosse un tableau sur son enfance, son inspiration, mais aussi sur son engagement. Son roman a été adapté au théâtre pour dire la réalité actuelle à tous, avec le pari de porter le livre au théâtre. La rubrique «Les Arts plastiques de L’ivrEscQ» ressort deux grands plasticiens qui ont réinventé l’Art algérien. Les plasticiens, de tout temps, ont souhaité avoir un magazine des arts plastiques. L’ivrEscQ consacre une de ses rubriques à ce créneau ô combien important. Farid Benyaa et Valentina Ghanem, tous deux, propriétaires de Galeries, espaces ouverts à la Culture. Tous deux se battant pour ressortir l’éminemment BEAU, la Femme, le Patrimoine. Leurs galeries sont un carrefour pour les plasticiens, les intellectuels et se veut un espace où le commun des artistes peut prendre son répit en partageant les instants avec ses semblables, avec ceux qui portent le bâton de pèlerin.
Le supplément qui accompagne ce numéro zoome sur des textes de différents auteurs afin de donner l’envie cet été de découvrir le goût perdu de la lecture à l’avantage de l’internet.
Bonne lecture estivale !
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